Me voilà un samedi soir devant mon ordinnateur, non pas que je n'ai pas une soirée car justement je m'aprêtes à y aller, mais parce que j'ai comme une énorme flème qui m'envahie. Comme toujours. J'ai l'impression de traîner à longueur de journée des poids accrochés à mes chevilles qui font en sortes que je n'ai aucune motivation pour bouger mon corps. Etant en terminal, je devrai travailler mais non. Toujours cette flème. J'ai l'impression que tout le monde vit à 100km/h et moi je reste là assise. Immobile comme si je n'étais capable de rien.
Je repense à la séance d'écriture de poésie de l'an dernier, où je me suis mise à pleurer quand on a lu nos poèmes. Et là, Mme Français -que j'adorai- a dit que cela provenait sûrement du fait que l'humain n'était plus habitué à l'humain. Elle avait raison.
Bref sur ce, bonne soirée ! Je vais enfin me bouger pour me préparer.
Samedi 13 novembre 2010 à 21:22
Commentaires
Par Maëva le Samedi 20 novembre 2010 à 17:41
L'atelier poésie, un exellent souvenir en effet...
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