Je me suis levée comme tous les matins. J'ai passé une journée tout ce qu'il y a de plus normal ce vendredi. On pourrait même dire une bonne journée. Et ça m'est tombé dessus, avec tellement de fracas. Au début j'ai eu le coeur froissé, j'ai eu le coeur serré. Puis j'ai eu le coeur écrasé comme si l'on m'avait passé un rouleau compresseur sur la poitrine. Et maintenant j'ai le coeur lourd, lourd de responsabilité, lourd de trahison mais surtout rempli de tonnes d'amour, malheureusement. Je me sens à la fois vide et la seconde d'après rempli d'un trop plein d'émotion impossible à contrôler. 

 Oyé Oyé Oyé, me revoilà ! J'aime refaire mon apparition pour repartir encore plus longtemps ! 
On est le 19 Mai, dans moins d'un moins c'est le bac. Le bac, cette chose qui semble si lointaine mais en même temps si proche, qui déterminera une année entière. On peut dire "ce n'est qu'une année", mais ce serait déjà de trop et surtout une grosse claque dans la gueule. Je devrai réviser ma philo mais étant donné que ça fait déjà 2h, j'ai droit à un répit, non ? Puis pour clôturer cette année j'ai déjà mes places pour les Solidays !  
Cette une photo a été prise à Londres lors d'un voyage en amoureux.

Oyé oyé, je ne suis plus très assidue quant à l'écriture de mes articles depuis un certain temps ! En même temps cowblog n'est plus ce qu'il était : impossible de mettre en place mon habillage, des pubs intempestives et un nouveau mot de passe impossible à retenir... Etant donné que je suis en terminale je ne peux me passer de parler de cours, alors je ne vais pas déroger à la règle ! Les bacs blancs s'enchaînent, les contrôles, le travail s'entasse, les fiches se font doucement et la semaine de bac blanc approche. MY GOD ! Depuis le maternelle on nous bassine avec le bac, et c'est CETTE année. Bref, tout ça pour dire que malgré mon "air cool, tout va bien" je suis une cocotte minute prête à explosée. J'ai même fait une crise d'angoisse à propos du SPORT hier soir, du SPORT quoi, ridicule ! Puis j'espère être acceptée où je voudrai, et surtout ne pas me tromper de vois ! 
Assez parlé des cours. Déjà les vacances de noël se sont passées très vite : il y eut nos 2 ans, noël, le nouvel an, puis les sorties. Et les soldes qui sont arrivées, j'ai à peine eut le temps de les faire mais je comptes bien me rattraper le week end prochain ! Oui, oui je suis une consommatrice ou plutôt je participes à la croissance économique ! Je cherches désespérément un bombardier pas trop trop chère et/ou une veste en cuir. Sur ce je vous laisses et vous souhaites une bonne soirée !  

"J'ai gagné en souplesse et un et deux et je remontes !" Vive le nouvel an ! 

Je tentes de réanimer ce blog mais il resiste. Il refuse que je lui cré un nouvelle habillage. Donc il restera ainsi, l'habillage par default avec lequel il a
finit quand je n'ai plus payé son prénium. C'est dingue comme on s'attache à des choses futiles comme l'habillage de son blog ou son blog tout simplement. Je crois qu'il me réconforte dans l'idée que les choses n'ont pas vraiment changé et que je ne grandi pas tant que ça. Alors qu'au contraire, en ma relisant je vois des évolutions, enfin si on peut appelé cela comme ça. On va plutôt dire des changements. Ecrire pour ne rien dire je crois que c'est une spécialité car mes articles n'ont pas un grand interêt pour les lecteurs mais plus pour moi même. L'envie de laisser un trace de mon "adolescence" sûrement.
Sur ce, ami du soir bonsoir !

La ville de tous les pêchés

Honte à moi !!!!! J'ai abandonner mon blog pendant un petit moment ! Mais en ce moment je suis débordée : les vacances sont passées pendant lesquelles je n'ai absolument pas touché à mes devoirs mais j'ai bien profité, puis la routine a repris parsemmée de bac blanc ! Et enfin, le week end tant attendu est arrivé : le mariage dans le sud avec Fanny. Ces quatres jours ont été juste énormissimes ! Sans oublié biensûr le concert des Bloody Beetroots que j'ai passé avec Cassie :) Bref, que de péripéties ces derniers temps. 

"D'où viens-tu mais où vas tu donc, Demain qu'importe et qu'importe hier" Louis Aragon